Emblèmes de la Confrérie des Ondes
Emblèmes de la Confrérie des Ondes
La tenue d’apparat
Lors de représentations de la CDO auprès des autorités, d’autres Confréries ou associations de métiers, et lors des Ressats bisanuels les Conseillers en charge portent la tenue d’apparat aux couleurs fondamentales de l’image télévisée : le rouge, le vert et le bleu.
Les Conseillers en tenue d’Apparat devant la porte du Château d’Oron le 17 avril 2016
La tenue d’apparat
Lors de représentations de la CDO auprès des autorités, d’autres Confréries ou associations de métiers, et lors des Ressats bisanuels les Conseillers en charge portent la tenue d’apparat aux couleurs fondamentales de l’image télévisée : le rouge, le vert et le bleu.
Les Conseillers en tenue d’Apparat devant la porte du Château d’Oron le 17 avril 2016
LA BANNIERE
LA BANNIERE
Pourquoi une bannière de la CDO ?
Un bref retour historique nous apporte la réponse.
Durant le haut Moyen Âge, la bannière, bande de tissus de couleurs frappée du blason, attachée à une hampe flottant au vent des batailles, apparaît comme un symbole de la juridiction féodale et comme un privilège militaire sous lequel on se range. On se rangeait donc sous le » ban » c’est-à-dire sous la bannière symbole de l’autorité de son seigneur.
Vers 1465, sous le règne du roi Louis XI, jusqu’alors confiées aux chevaliers « bannerets » qui les défendaient souvent au prix de leurs vies, les bannières perdent de leur signification militaire et deviennent dorénavant les emblèmes de congrégations religieuses, de confréries de métier et de sociétés civiles.
Dès lors, représentant encore toute leur portée symbolique primitive, ces bannières «pacifiques» , sont destinées à être portées en procession en l’honneur de saints patrons religieux, de corps de métiers et de sociétés civiles lors de fêtes religieuses ou de corporations.
La Bannière de la CDO a été inaugurée lors du Ressat 2003. Voici un extrait du texte dit par le Gouverneur Alain Sauer lors de sa présentation.
“De soies damassées, en un blason tiercé verticalement, d’azur, de sinople et de gueules, surmonté en son cœur et en broderie ornementale de l’Emblème de notre Ordre”
Pourquoi une bannière de la CDO ?
Un bref retour historique nous apporte la réponse.
Durant le haut Moyen Âge, la bannière, bande de tissus de couleurs frappée du blason, attachée à une hampe flottant au vent des batailles, apparaît comme un symbole de la juridiction féodale et comme un privilège militaire sous lequel on se range. On se rangeait donc sous le » ban » c’est-à-dire sous la bannière symbole de l’autorité de son seigneur.
Vers 1465, sous le règne du roi Louis XI, jusqu’alors confiées aux chevaliers « bannerets » qui les défendaient souvent au prix de leurs vies, les bannières perdent de leur signification militaire et deviennent dorénavant les emblèmes de congrégations religieuses, de confréries de métier et de sociétés civiles.
Dès lors, représentant encore toute leur portée symbolique primitive, ces bannières «pacifiques» , sont destinées à être portées en procession en l’honneur de saints patrons religieux, de corps de métiers et de sociétés civiles lors de fêtes religieuses ou de corporations.
La Bannière de la CDO a été inaugurée lors du Ressat 2003. Voici un extrait du texte dit par le Gouverneur Alain Sauer lors de sa présentation.
“De soies damassées, en un blason tiercé verticalement, d’azur, de sinople et de gueules, surmonté en son cœur et en broderie ornementale de l’Emblème de notre Ordre”
La masse
La masse a été depuis très longtemps le symbole de l’autorité royale. A l’origine, ce fut une arme de guerre portée par le garde du corps du roi.
Par extension et sous diverses formes et dimensions, elle représente encore dans les sociétés civiles et religieuses l’autorité du Président ou du Prélat et, en particulier dans les Confréries comme la nôtre, celle du Gouverneur.
Symbole d’autorité, elle est portée le plus souvent par un Conseiller de la CDO précédant la procession à la tête de laquelle se trouve le Gouverneur et sa suite.
La masse
La masse a été depuis très longtemps le symbole de l’autorité royale. A l’origine, ce fut une arme de guerre portée par le garde du corps du roi.
Par extension et sous diverses formes et dimensions, elle représente encore dans les sociétés civiles et religieuses l’autorité du Président ou du Prélat et, en particulier dans les Confréries comme la nôtre, celle du Gouverneur.
Symbole d’autorité, elle est portée le plus souvent par un Conseiller de la CDO précédant la procession à la tête de laquelle se trouve le Gouverneur et sa suite.
La médaille
L’emblème gravé, figurant sur la médaille en bronze suspendue à la base du sautoir aux couleurs de la Confrérie que chaque Compagnon se doit de porter lors des cérémonies, se compose au centre de six électrons représentant les six membres du Petit Conseil gravitant autour d’un noyau figurant le Gouverneur.
Ce symbole se trouve placé à l’intérieur de la représentation d’un écran de télévision. Le pourtour de la médaille est orné d’un solénoïde entourant treize étoiles représentant à l’origine l’effectif du Conseil des Sages.
A ce jour, la Confrérie des Ondes n’est plus dirigée par les deux instances du Petit Conseil et du Conseil des Sages institués lors de sa fondation. Un seul Conseil des Sages de 11 membres qui se renouvelle sur appel, pourvoit à la pérennité des traditions.
LA MEDAILLE
L’emblème gravé, figurant sur la médaille en bronze suspendue à la base du sautoir aux couleurs de la Confrérie que chaque Compagnon se doit de porter lors des cérémonies, se compose au centre de six électrons représentant les six membres du Petit Conseil gravitant autour d’un noyau figurant le Gouverneur.
Ce symbole se trouve placé à l’intérieur de la représentation d’un écran de télévision. Le pourtour de la médaille est orné d’un solénoïde entourant treize étoiles représentant à l’origine l’effectif du Conseil des Sages.
A ce jour, la Confrérie des Ondes n’est plus dirigée par les deux instances du Petit Conseil et du Conseil des Sages institués lors de sa fondation. Un seul Conseil des Sages de 11 membres qui se renouvelle sur appel, pourvoit à la pérennité des traditions.
